Le blog des Festivals vous propose de retrouver toutes les vidéos filmés par les Blogreporters durant cet été 2012, et vous même pouvez contribuer à alimenter ARTE LIVE WEB avec vos productions.
Informations, affiches, programmes, reportages sur les Festivals
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Samedi 27 juin, le Festival de Châteauneuf-les-Martigues a été officiellement lancé par une avant-première caritative. Les bénéfices de cette soirée du coeur seront remis à l’Institut Paoli-Calmettes et au Centre Ressource d’Aix-en-Provence pour la lutte contre le cancer. Après ce lancement engagé, le Festival se poursuit, à partir du jeudi 2 juillet avec le Memory Big band, puis le vendredi 3 juillet avec Noëlle Perna, le samedi 4 juillet avec Kyo pour se finir le dimanche 5 juillet avec Ben l’Oncle Soul. Il reste des places alors dépêchez-vous pour profiter de ce cadre privilégié et de la qualité de ces artistes. Les ventes se feront aussi sur place. Comme chaque année, la ville de Châteauneuf-les-Martigues a ouvert le bal des rendez-vous estivaux avec son festival. L’édition 2015 a fait parler d’elle avec son nouveau nom, sa dimension caritative et ses supports de communication originaux. La soirée d’avant-première : tous unis pour une noble cause Pour cette avant-première caritative, le public avait répondu favorablement. Près de 300 personnes ont fait le déplacement pour participer à cette soirée qui liait la culture et la solidarité. Elles ont eu la surprise d’être accueillies par Jean-Pierre Foucault, le célèbre animateur qui a été séduit par la cause défendue. En première partie, trois artistes, Alexandre Vallès, Floriane Vogel et Raphaël Moraine accompagné au piano par Roger Poluy ont interprété des chansons de Georges Moustaki et des titres personnels. Après l’entracte, le public a profité d’une remarquable prestation d’un quartet de jazz, qui a touché les oreilles averties. Et ça continue avec le Memory Big band, jeudi 2 juillet Dès jeudi 2 juillet à 21h30, le parc François-Mitterrand vibrera, à nouveau, sur des mélodies jazz avec l’orchestre du Memory Big band qui rendra hommage à Glenn Miller. Noëlle Perna, qui enregistre déjà un grand succès, s’appropriera la scène, dès le lendemain, vendredi 3 juillet à 21h30, avec son irrésistible personnage de Mado la niçoise. Fous rires garantis. Samedi, c’est au tour du groupe mythique des années 90 d’enchanter son public avec sa tournée « le Graal tour »… Une rencontre privilégiée avec le groupe est prévue le jour même entre 18h00 et 20h00. Des places sont à gagner jusqu’au mardi 30 juin à 12h00 sur la page Facebook du Festival. Enfin, dimanche 5 juillet à 21h30, ce Festival se conclura avec l’énergie de Ben l’Oncle soul qui saura mettre de la joie et du rythme avec ses mélodies. En plus, la météo prévoit des soirées particulièrement chaudes et agréables pour profiter pleinement de ces moments culturels en plein air. Il est encore temps de se décider à prendre vos places à l’Office de tourisme et dans les points de vente habituels. Et pour ceux qui préfèrent le dernier moment, les places seront en vente sur place. Alors, on vous attend. N’hésitez pas à adhérer à la page Facebook du Festival pour suivre l’actualité de ce dernier en direct ! Contact presse Sophie REGIS 04 42 76 89 53 ou 06 24 12 18 95 sophie.regis@chateauneuf-les-martigues.fr Plus d’infos sur www.chateauneuf-les-martigues.fr
Festival des musiques du monde, du 21 juillet au 8 août FIEST’A SETE A l’heure de hisser le pavillon de sa 16ème édition, Fiest’A Sète affiche fièrement un enthousiasme et une détermination intacts ainsi qu’un goût sans cesse renouvelé pour les musiques épicées. Toujours guidé par ses envies d’ailleurs, de fête et de partage, plus que jamais fidèle à son esprit aventureux, le festival s’attache cette année encore à mettre en lumière la diversité du patrimoine musical mondial, et à partager sans la moindre modération ces immenses richesses.Après sa traditionnelle série d’escales gratuites tout autour de l’étang de Thau et dans les quartiers sétois, l’équipage vous invite à embarquer, dans ce majestueux vaisseau de pierre qu’est le Théâtre de la Mer, pour sept soirées magiques, débordantes de vibrations euphorisantes. Bien sûr, on croisera tout au long de la traversée des voix et des visages amis ; des musiciens dont la seule évocation fait frissonner de plaisir. Manu Dibango, Hugh Masekela et Boubacar Traoré incarneront ainsi les figures tutélaires d’une Afrique enchanteresse aux expressions les plus diverses, tandis que les électrisants Caravan Palace propulseront le swing vintage de Django sur le dancefloor. Quant aux quatre maîtres Jamaïcains que sont Tyrone Downie, Ernest Ranglin et les inséparables Sly & Robbie, il y a fort à parier que leur association inédite tournera à la plus magistrale des leçons de musique. On ne saurait évidemment passer sous silence deux des soirées thématiques les plus attendues, d’une année sur l’autre : tout d’abord, la soirée Soul & Groove qui vous propose, en exclusivité, la première apparition européenne des excitants Slim Moore & The Mar-Kays. Ensuite, la soirée Latina, incontournable réminiscence des premières années du festival, qui accueillera le novateur Roberto Fonseca, sans oublier la grande tradition salsa avec Manolitoy su Trabuco. N’hésitez pas à consulter le programme complet sur le site de Fiest’A Sète ou sur la page Réservation FNAC
SPECTACLES A VOIR AVIGNON 2016 Dans les rues de la cité des Papes, les parades et les distributions de tracts se poursuivent. Et dans les salles du Off, il y a toujours de belles découvertes à faire. Voici mes dernières, résolument hétéroclites : Pour retrouver son âme d’enfant: Julien Cottereau dans « Imagine-toi » Clown, mime, bruiteur, Julien Cottereau offre, sans un mot, un concentré de rire et d’émotion dont on sort l’esprit léger et le sourire aux lèvres. Sa poésie nous serre le coeur avec tendresse, et sa performance corporelle et sonore (sans le moindre accessoire) nous épate. Avec son chapeau à la Peter Pan (sans la plume) et son costume beige de clown mal fagoté, ce comédien reprend son spectacle « Imagine-toi » qu’il n’a cessé de faire évoluer et nous emmène dans l’imagination sans limite d’un balayeur solitaire. Qu’il joue avec un chien, qu’il tombe amoureux ou qu’il se débatte avec un monstre, la précision avec laquelle il parvient à tout ré-imaginer nous emmène dans un univers enchanteur. Julien Cottereau, dont on lit sur le visage la part d’enfant qui est resté en lui, a aussi le don de faire participer des spectateurs avec une empathie et un charme rares. Dans ce monde de brutes, cet homme est un extra-terrestre à voir (ou à revoir) d’urgence. « Imagine-toi » jusqu’au 31 juillet à 15h10 au théâtre Ninon et « Lune air » jusqu’au 31 juillet à 20h55 au théâtre de La Luna Pour découvrir que le rugby peut se transformer en spectacle : Cédric Chapuis dans « Au-dessus de la mêlée » Nous avions été emballés par son précédent seul en scène « Une vie sur mesure » (également à Avignon). Pour son nouveau spectacle, Cédric Chapuis fait un pari audacieux en choisissant de raconter l’itinéraire de Bastien, poussé par son père à pratiquer le rugby pour « devenir un homme ». Entraînements, compétitions, vie du club, camaraderie, troisième mi-temps, le comédien nous raconte quinze années de vie (de 5 à 20 ans) au Racing club de Brignac et parvient à capter l’attention des plus réfractaires à l’univers du sport amateur, ou du sport tout court. Sa force ? Sa capacité à raconter une histoire faite d’autodérision, d’émotion, d’humanité, de pudeur, voire de candeur. Bien écrit, habilement mis en scène, « Au-dessus de la mêlée » peut paraître parfois naïf dans sa manière de magnifier un sport qui véhiculerait toutes les plus belles valeurs (amitié, engagement, intérêt du groupe, dépassement de soi) mais a le mérite de la sincérité. Cédric Chapuis parle de son vécu, de sa jeunesse sportive, et incarne tous les personnages de cette comédie amicale : les copains, l’entraîneur, le coach physique, le maire, etc. Ce seul en scène, qui mériterait juste d’être un peu resserré (l’histoire du premier amour ralentissant un peu le rythme), réussit le tour de force de transformer une aventure sportive en une aventure humaine qui s’adresse à tous. « Au-dessus de la mêlée, jusqu’au 30 juillet (les jours pairs) à 10h50 au théâtre Pandora Pour rire en chansons grâce aux délires de Constance dans « Gerbes d’amour » Cette fille est dingue. Elle l’avait déjà prouvé lors de ses deux précédents one-woman-show – « Les mères de famille se cachent pour mourir » et « Partouze sentimentale » – dans lesquels elle croquait des portraits de femmes névrosées désespérément drôles. Cette fois, cette humoriste s’est mis en tête de raconter des horreurs en chansons et d’être accompagnée sur scène par la musicienne Marie Reno, aussi grande, brune et impassible que Constance est petite, blonde et survoltée. Résultat : un duo déjanté, mis en scène par l’un des humoriste les plus fou du moment, Didier Super. Avec un culot monstre et toujours le choix assumé – rare sur les scènes d’humour – du déguisement, Constance et Marie se sont donnés pour mot d’ordre de « traiter le mauvais goût avec le bon goût ». Dans « Gerbes d’amour », tout y passe : le viol, l’infanticide, les homme violents, l’alcoolisme…Paroles acides et insolentes, il faut voir Constance raconter une soirée trop arrosée ou dénoncer le racisme anti-picard sur un air de souk ou encore se moquer des rappeurs « les mecs c’est trop des putes, si t’as du cash, ils sont en rute » pour se dire que rien n’arrête la folie de cette fille qui a Nina Haggen pour idole. « Gerbes d’amour », jusqu’au 30 juillet à 22h30 au théâtre Le Paris Pour saluer une performance d’acteur : Brice Hillairet dans « Ma folle otarie » C’est vraiment une drôle d’histoire. Celle d’un homme timide, effacé, à la vie morne et sans éclat, dont les fesses vont soudainement grossir dans des proportions monstrueuses. Cette fable contemporaine, écrite et mise en scène par le prolifique Pierre Notte, tient sa force dans l’interprétation remarquable de Brice Hillairet. Dans la petite salle-chapelle du théâtre des Halles, sans le moindre décor ni accessoire, ce jeune comédien nous emporte dans sa folle aventure. Mal dans sa peau, pataud, il fuit le monde des hommes, aux yeux desquels il est devenu un monstre, jusqu’à trouver refuge auprès d’une otarie et parvenir à briser ses chaînes à l’issue de cette cocasse épopée. Monologue haletant et inventif, tout autant dans l’écriture que dans le jeu, « Ma folle otarie » est l’histoire d’une émancipation, drôle et émouvante, contée par un comédien au panache fou. « Ma folle otarie », jusqu’au 28 juillet à 14 heures au théâtre des Halles Sandrine Blanchard

RENCONTRES ARLES PHOTOGRAPHIE 2 juillet - 23 sept 2012 VIDEO & photos
ARLES photographie rencontres 2012 (VIDEO) BLOG DES FESTIVALS Les rencontres d’ARLES sont à la photographie ce que Cannes est au cinéma. Il constitue chaque année le Rendez-vous des photographes qui permet à Arles de devenir capitale internationale de la photographie du 2 juillet au 16 août 2012. Les Rencontres proposent des projections nocturnes en plein air au Théâtre antique, évènement unique au monde. Chaque soir un photographe ou un spécialiste de la photographie vient présenter des images qui parfois sont accompagnées de concerts ou de performances artistiques. Chaque soirée fait l’objet d’une création unique. Lors de la semaine d’ouverture sont également organisés des conférences et débats. Les expositionsEnviron 60 expositions investissent des sites du patrimoine arlésien mais aussi des lieux habituellement fermés au public, qui peuvent ainsi revivre durant l’été. Les Rencontres ont installées il y a quelques années des expositions dans le parc des des ateliers ferroviaires. C’est sur ce site, que les Rencontres ont pour la première fois en 2010 proposé le Village des Rencontres d’Arles. Il s’agit d’un espace de rencontre inédit avec les amateurs, collectionneurs et professionnels présents durant les journées d’ouverture du festival. Grégoire Alexandre : « Sans titre 3 », studio, 2010 Les photos de Grégoire Alexandre sont pleines de poésie. Dans ses commandes pour la publicité, la mode ou la presse, il se sert des contraintes du studio pour créer librement, sans cacher les fils qui rendent possible l’illusion. Eclairages, porte-manteaux, papiers et maquilleuses sont présents dans l’image. L’espace de Grégoire Alexandre est charnel, moins cérébral. Les mannequins, froides ou androgynes, font face à une licorne verte en origami jailli du papier de studio, sautent dans un jet de confettis tirés au canon, s’enroulent dans le papier froissé comme de la soie. C’est superbement bizarre. Et le studio est un espace vide où toutes les fééries deviennent possibles… sans avoir besoin de Photoshop. (VIDEO) Blog des Festivals 2012- Cette année les Blogreporters passionnés d’images depuis toujours seront encore prés ARLES photographie 2012 par hugomayerents au plus grand carrefour de la photo du Monde! Les Rencontres d’Arles sont le plus vieux festival de photo en France. Au fil des années, cette réunion de la profession a toujours su innover, concoctant à chaque édition un programme riche et varié. Avec soixante expositions, l’année 2012 ne fait pas exception. A l’occasion des 30 ans de l’Ecole nationale supérieure de la photographie (ENSP), le festival invite plus d’une vingtaine d’anciens élèves à présenter leurs travaux. A ce «bilan national», s’ajoutent d’autres invitations: celles lancées par cinq directeurs de prestigieuses écoles de photo dans le monde (Etats-Unis, Afrique du Sud, Japon, Finlande et Grande-Bretagne) à 15 photographes concourant pour le prix Découverte remis à Arles. @ suivre… En shootant !